:

Comment cesser la gourmandise ?

Véronique Pereira
Véronique Pereira
2025-06-03 16:44:33
Nombre de réponses: 3
Prenez le temps de vous demander : Pourquoi est-ce que je mange ? Quel bien est-ce que je poursuis ? Ce qui est agréable n’est pas toujours bon. Nous savons quand nous passons du besoin satisfait à la jouissance démesurée. Notre corps a une sagesse, il sait nous dire « stop ». Ne goûte-t-on pas une joie supplémentaire quand on sort de table sans lourdeur ? Il est impossible de nous maîtriser sans un minimum de renoncement. Nous saurons qui est maître chez nous – notre volonté ou notre plaisir – seulement le jour où nous apprendrons à dire « non » à certains plaisirs. Il suffit de passer en revue les différentes espèces de gourmandise et d’en prendre le contre-pied. On peut donc s’aider à moins manger en se faisant plaisir autrement, et en diversifiant les sources de consolation. Prenons exemple sur Lui et n’oublions pas que manger, c’est être ensemble ; être c’est partager ; partager, c’est aimer et aimer, c’est Jésus.
Agathe Riviere
Agathe Riviere
2025-06-03 16:42:20
Nombre de réponses: 5
Manger à heures régulières permet de stabiliser la glycémie, éviter les pics de faim, anticiper les moments de creux, un corps bien nourri réclame moins de compensation. Intégrer le plaisir au quotidien plutôt que de diaboliser les aliments gourmands, intégrez-les consciemment. Le plaisir assumé évite les débordements incontrôlés. Apprenez à repérer la satiété, le besoin réel de manger, les moments où l’envie est davantage liée à une émotion. Cela demande un peu de pratique, mais avec le temps, cela devient un réflexe précieux. Parfois, une envie de grignoter cache juste un besoin de pause, un petit tour à pied, un verre d’eau, un appel, ou une respiration profonde peuvent suffire à réduire l’intensité de l’envie. Tenir un journal alimentaire peut aider à prendre du recul et à reconstruire une relation sereine avec la nourriture. On parle de mesure, d’équilibre et de liberté alimentaire, on ne parle jamais d’interdits. Des repas équilibrés et rassasiants limitent les envies incontrôlées. Avant de manger, posez-vous cette question simple : est-ce que j’ai vraiment faim ou est-ce que je cherche autre chose? Un corps bien nourri réclame moins de compensation. Stabiliser la glycémie permet d’éviter les pics de faim et d’anticiper les moments de creux. Anticiper les moments de creux permet à un corps bien nourri de réclamer moins de compensation. La satiété est repérée en s’arrêtant à 80 pour cent de remplissage. Des repas équilibrés et rassasiants limitent les envies incontrôlées. Le plaisir assumé évite les débordements incontrôlés. Cela demande un peu de pratique, mais avec le temps, cela devient un réflexe précieux.